PUBLICATION DE Elsa @ Luis chez Mon Petit Editeur

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couverture de web love stories à paraitre chez mon petit éditeur

Voir Elsa@Luis disponible en version papier et numérique sur le site de monpetitediteur

A LA RECHERCHE DE L’AUTRE SOI

Pendant cinq ans j’ai vagabondé sur Internet à la recherche d’une compagne à laquelle m’enraciner durablement. J’ai rencontré des femmes remarquables. Mon histoire avec elles a été belle mais inachevée, plusieurs fois, jusqu’à ce que je connaisse Annie. C’est une évidence : la recherche de l’autre sur Internet produit plus souvent des unions éphémères qu’une solution durable.

Elsa @ Luis, c’est

l’histoire d’une relation sentimentale initiée sur internet, inspirée de faits réels.

Une successions de moments d’espoir, de bonheur, de surprises, de crises et de rebondissements, tient le lecteur en haleine jusqu’au dénouvement inattendu de leur histoire d’amour.

Dans ce qui suit sont présentées  :

– LES PREMIERES PAGES DU LIVRE : En guise de mise en bouche

– LES PREMIERES APPRECIATIONS

– UNE NOTE BREVE SUR LES RAPPORTS DE L’AUTEUR AVEC LES FEMMES

– LA LISTE DES ROMANS REGROUPES DANS LA TRILOGIE : WEB  LOVE  STORIES

I

Après un préambule qui expose quelques généralités sur la réalité virtuelle où les clubs proposent  des rencontres à leurs adhérent(e)s, démarre, en illustration romancée de ce qui a été dit,  l’histoire de

ELSA @ LUIS

( PREMIERES PAGES )

Elsa se sent bien seule lorsqu’elle rentre chez elle après sa journée de travail. Comme chaque soir, elle allume son ordinateur, clique sur son site de rencontres, dans l’espoir de lire le message tentateur d’un inconnu qui la contacte après avoir lu l’annonce qui la présente sous le pseudo de ” Miss terre du Sud “.

Femme qui ne cherche pas à se vendre, aimerait toutefois rencontrer un compagnon de route avec qui partager ce que nous saurons voir du paysage traversé. Le plaisir de la découverte réciproque, peut-être….

Des prétendants se sont manifestés. Elle les a rencontrés. La relation engagée a été interrompue, plus ou moins vite, de son fait ou du leur !

Elsa poursuit sa quête.  Elle attend d’être contactée par un homme qui se présente en lui donnant l’envie de le connaître. Elle espère bien qu’il se manifestera tout à l’heure. Cette nuit, elle a de la chance. Elle n’attendra pas longtemps. Le message tentateur  d’Olaff_161 vient d’apparaître sur son écran. Elle s’empresse de le lire.

” Souhaitez-vous qu’une rencontre enchante durablement votre   vie ? Alors, engageons-nous dans le plaisir de la découverte réciproque  afin de savoir si nous pouvons répondre aux attentes profondes de l’autre, d’abord sur le plan amical en sublimant dans la joie le banal quotidien. Après, le passage aux sentiments se fera tout seul, s’il doit se faire !

Le succès n’est pas garanti ! Par contre, je vous promets que le temps que nous serons ensemble nous ne nous ennuierons pas ! Créatif, mon sens de l’action au service de la beauté et de l’art de vivre est apprécié par les personnes que je fréquente  et qui me le rendent bien.

Je vous invite donc à transmuter avec moi le réel, à agir dans l’espoir fou mais possible de faire de notre vie une œuvre originale. Osons provoquer les plus réjouissantes manifestations de l’improbable !  C’est plus facile qu’on le croit. Il suffit de nous engager sans crainte dans la voie de la connaissance profonde de l’autre.

Faites-moi confiance. Ecrivez-moi, je vous répondrai. C’est peut être pour vous, et pourquoi pas pour nous, à terme, la seule façon de vivre un  ” conte de faits “.

Cette annonce comble les attentes d’Elsa et la trouble à la fois. L’invitation à sortir complètement de ses habitudes la dérange. Elle lui fait peur. Mais elle est très tentée par la possibilité d’échapper enfin à la morosité de son existence. Et ce soir, elle se sent si seule !

Elsa pèse le pour et le contre. Elle a oublié d’allumer la radio. Pour toute musique, un vent glacial souffle très fort dehors ! Finalement, l’espoir d’un futur qui la comblerait plus que son présent l’emporte sur l’angoisse de vivre avec de nouveaux repères. Elle décide brusquement de se jeter à l’eau ! Vite, vite, avec l’émotion des grandes décisions, comparable à celle d’un émigré dont le bateau quitte le quai d’embarquement à destination d’une terre lointaine, elle tape sur le clavier de son ordinateur son premier message à  Olaff_161 :

Jeudi 5 octobre   23 heures

Bonsoir, cher Olaff !

Votre annonce parle d’enchantement, de sublimation, de transmutation… Au diable l’avarice ! En matière de mots, tout au moins ! Vous semblez si fâché avec le quotidien, le banal, l’ordinaire des jours .…. un peu comme moi, parfois. Mais je sais aussi que c’est le regard du cœur qui seul, a le pouvoir de changer les choses et les êtres. Et quelques autres menues vérités rencontrées en route…

Cela dit, je vous souhaite une très bonne journée.

E.

Elsa ne sait pas alors qu’en cette lugubre soirée d’hiver, elle vient d’écrire les premiers mots d’une histoire qui ne ressemblera à aucune de celles qu’elle a vécues……celle d’un vrai  ” conte de  faits “….

LA SUITE DISPONIBLE CHEZ

Mon petit éditeur :  www.monpetitediteur.com/librairie/livre.php?isbn=97827483691182

Editions Publibook 14, rue des volontaires – 75015 PARIS Tel : +33 (0)1 53 69 65 31       Fax :+33 (0)1 53 69 65 27 

email : doniazade@publibook.com     www.publibook.com

II

PREMIERES APPRECIATIONS

De J-J B, Acteur : J’ai terminé la lecture de votre œuvre. Vous avez heureusement évité l’anecdote, ce qui aurait rendu cet écrit insipide et grattage de nombril ! Il en reste l’originalité du système et c’est tant mieux. Mais je me demande ce que vous allez  pouvoir raconter dans les tomes suivants…et je suis impatient de les lire tout en faisant confiance à votre fantaisie. Bravo donc et vite la suite.

De S de P, Linguiste : En lisant votre livre j’ai pensé aux proposde Marie-France Hirigoyen dans son livre ” Les Nouvelles Solitudes :

Dans notre monde surinformé mais de plus en plus précaire, la solitude est devenue un fait majeur. Célibataires, divorcés, quatrième âge…, près de 14 % de la population française vit seule…… Il y a ceux qui souffrent de leur isolement relationnel et les « reclus » volontaires, qui ont simplement fait le choix de vivre ainsi “.

Vous illustrez le premier ( cas ) par un récit haletant, riche d’enseignements sur la solitude, la vie, la naissance et l’évolution du sentiment amoureux, et par là-même, la difficulté de créer une aventure sentimentale pérenne. Nul doute que, outre le plaisir de vous lire, les adhérents des clubs de rencontre ne trouvent grand intérêt à lire Elsa @ Luis. Je lui souhaite le succès justifié par la qualité du texte et l’utilité des propos.

De B.B, responsable de haras : Quel fascinant suspense la relation de ce vieux Casanova avec cette jeune femme blessée, réservée, mais loin d’être une oie blanche… On tourne chaque page en se demandant : qui l’emportera ? Va-t-il parvenir à ses fins ? Et comment ? Aussi haletant qu’une course hippique ! J’attends avec intérêt la parution des autres nouvelles sentimentales  !

De D.D, Professeur de français : Bon, je l’ai lu d’un jet sans m’ennuyer un instant. Sans cesse des rebondissements, allant du cocasse très joyeux à l’émouvant, parfois même, à la limite du tragique, qui stimulent le désir de lire jusqu’à la fin ! Elle voulait recevoir une photo. Normal ! Il lui envoie l’image d’un cadre avec rien dedans, et en dessous, la légende : “Mon portrait quand j’ai l’air absent “. Elle insiste. Il lui adresse le même cadre avec un fond en balsa sans rien d’autre que cette légende : ” Mon portrait quand j’ai la gueule de bois “. Ces taquineries qui  testent l’humour de la belle alternent avec ces moments où un rien ( une crise de jalousie infondée …. ), est sur le point de provoquer une rupture de la relation juste avant la rencontre. Et plus tard, ce baiser qu’il lui donne, le dernier, parce qu’il provoque chez sa compagne, oh désagréable surprise, le mouvement vif de la main qui essuie brusquement la bouche embrassée, avec les conséquences dramatiques de ce geste de dégoût, révélateur que la relation est finie…. Ces images fortes ponctuent l’histoire de Luis et d’Elsa. Elles empêchent d’être indifférent à ce que vivent ces personnages. Du bon travail d’écriture ! Bravo !

De P. de P, Officier de marine : Sur les traces de Michel Houellebecq, vous explorez sous un éclairage sociologique la solitude affective et la virtualisation des sentiments qui gagne peu à peu toutes les tranches d’âge de notre société, y compris les seniors. Ce récit épistolaire nous fait également découvrir à travers ses deux protagonistes, Elsa et Luis, les leçons de vie d’êtres rares, touchants, et surtout non conformistes !

De F.B, Normalien : Je place votre livre dans la tradition des romans épistolaires et de la littérature libertine du XVIIIe siècle. Pourquoi ? Parce que ça cause d’amour mais aussi que ça cause du plaisir des mots. Le plaisir d’écrire à quelqu’un dans un jeu de va-et-vient distance/proximité tout à fait réjouissant.

Ce que j’aime d’abord c’est le style, celui des mots choisis qui donnent la joie voluptueuse de découvrir en retirant pour la première fois ce qui couvre l’être aimé(e),  le voile qui l’habille. C’est un plaisir de libertin, celui du dévoilement indirect, qui caresse à distance comme une main.

L’échange d’une durée inhabituelle de lettres avant la rencontre est une correspondance passionnée et passionnante qui prouve qu’on peut encore vivre des histoires d’amour de haut vol, dans le tissu délicieux des mots. Il montre que Meetic ( pour ne pas le nommer) est un outil dont on peut se servir pour sortir des chemins convenus de la drague pour accéder à un véritable échange de l’âme à l’âme.

De Elise P.  Amie, conseil et formatrice : Hello Georgio ! Alors ce bouquin? Je suis persuadée que toutes les personnes qui te lisent sont déjà, ou en tous cas deviendront, des fanatiques de tes histoires sur internet. Et quelles histoires !!!! De quoi en apprendre suffisamment pour draguer avec efficacité. signé Une fervente et reconnaissante admiratrice de tes textes.

De : J-M. C, Nutritionniste. Elsa@Luis. J’ai fait cela de l’aéroport. Tant de poésie et de romantisme dans ce roman qui nous emporte pourtant dans l’univers si actuel des rencontres sur internet. Vous nous racontez, tel un voyage, votre évolution dans cette nouvelle forme de communication et de rapports hommes-femmes qu’offre internet. Dans cette quête, nos chemins se sont croisés et je suis ravi que notre rencontre sur la toile et la découverte de ma méthode  ( la méthode Cohen ) vous ait rendu plus ” léger ” dans vos aventures !

De P. et V,  médecins : Mon mari et moi avons passé plusieurs soirées à lire votre livre à deux sous la couette.  Il était le récitant. Nous avons passé des moments hilarants plein d’humour bien envoyés tandis que la prose d’Elsa paraissait plus tourmentée et indécise…. Manifestement elle n’était pas faite pour Luis, elle ne pouvait apprécier son tempérament hors norme et original.  La fin de leur relation ne nous a donc pas surpris. Là encore, votre talent de narrateur fait merveille. Luis poursuit sa recherche de compagne, mais pas n’importe comment. L’application de sa stratégie est jubilatoire, sa nouvelle annonce, tout autant.  Jusqu’à ce qu’il rencontre enfin celle avec laquelle le couple vit un bonheur complet.

A noter, toutefois, pour ne pas faire que des compliments,  qu’à notre avis, le début du livre aurait pu être un peu plus court et un peu moins didactique, encore que pour beaucoup de membres de clubs de rencontre qui viennent de s’inscrire ou qui n’ont pas encore trouvé celle ou celui qu’ils cherchent, les informations que vous donnez devraient leur être utiles, en particulier le rôle des mots pour connaître l’autre, si dangereux quand ils véhiculent des mensonges avant toute rencontre, et si efficaces, après, pour embellir leur vie.  Sans oublier le conseil d’être patient(e) : C’est une évidence. On ne trouve pas tout de suite ce que l’on cherche. Luis a mis cinq ans avant d’atteindre son but !

Bref, tous les adhérents des clubs de rencontre devraient lire Elsa@Luis, pour leur plaisir de lecteur et pour leur profit d’acteur.

De J. Desbuards. Libraire. Un septuagénaire à la recherche d’une compagne sur internet c’est aussi improbable qu’une cabine de douche en plein désert. Et pourtant, c’est bien de cela qu’il s’agit, d’un homme dit d’un âge pour le moins avancé qui recherche l’amour à travers des aventures épistolaires numériques. A y regarder de près, cet homme, aussi digne qu’un chêne, cache bien son jeu ! Il nous fait découvrir sous son écorce, les cercles concentriques de son existence riche et fantasque. Il nous révèle comme si on y était, la réalité très particulière de la recherche sentimentale sur Internet et comment on passe après bien des péripéties, du virtuel au réel.

                               Laissez-vous happer par ce livre plein de surprises. Il est pareil au maïs prêt à se transformer en pop corn. On ne sait jamais dans quelle direction il va exploser. J’ai lu Elsa@Luis dans un état d’intense jubilation et vendu sans difficulté à la clientèle qui me fait confiance.

De Cynthia, lectrice de Suisse :  Le titre était prometteur. Le livre l’est aussi. Fiction ou réalité, difficile de définir ce que l’auteur fait passer ici tant le récit est réel, presque pragmatique, dirai-je.   …. Durant près de quarante pages ( de lettres échangées ) l’auteur nous fait rêver, fantasmer et sublimer la suite du roman. Ce n’est que dans les vingt dernières pages que nous découvrons la rencontre, l’apogée de ce mailing incessant…… Un livre rempli de beaux mots, de jeux de mots, de sentiments et d’émotion…. L’auteur a su me passionner, me donner envie de poursuivre pour connaître l’épilogue, me tenir vraiment en haleine…..

La lecture complète du courrier de Cynthia est présentée ici : http://www.les-agents-litteraires.fr/web-love-stories-de-georges-frank-de-cuzey

De J. M. Conseil et Formateur : Ce que vous avez écrit est captivant. J’ai donc été capté et même passionné, un peu comme si je lisais un bon thriller dont je suis friand ; sans compter (et sans conter) l’enthousiasme transmis par les emballements (mais aussi les emballages ! ) des webeurs (demi-sel). J’ai énormément apprécié le style, loin des guimauveries et des mots gaulés comme des noix de Levy ou Musso L’idée des échanges épistolaires est excellente et le traitement fort agréable et entraînant. On ne s’ennuie jamais, on saute d’une page à l’autre dans la joie et la négresse ! Evidemment, dès le début, on sait que ça ne marchera pas entre Luis et Elsa, malgré l’intérêt qu’elle suscite : elle est bien trop “mystique” pour coller avec un épouvantable mécréant comme Luis ! Et surtout – cela transparait nettement dans le portrait finalement continu que vous en faites – bien trop intéressée par sa petite personne et son bien-être mental. Mais bon, ça c’est le contenu de l’histoire. Son déroulement est prenant. Un (petit) reproche (mais je ne suis jamais content) : pourquoi parler autant d’Annie à la fin alors qu’elle fera l’objet d’un bouquin entier ?  Bref,  écrit dans un style, simple et brillant, Elsa @ Luis est un ouvrage intelligent, surprenant, non académique (ouf !). La 1ère fois, je l’ai lu d’une traite en 2 heures. Je l’ai dégusté comme un bon foie gras accompagné d’un jurançon vendange tardive. Bien sûr, je le recommande et l’ai déjà recommandé à un tas de potes et de potesses.

De Anny Dimelov. Bruxelles News : Elsa@Luis chez Mon petit éditeur. Le Web ne sert pas qu’à effectuer des recherches scolaires pour le gamin ou à réaliser des opérations bancaires en ligne. Il a aussi pour vertu de mettre en rapport des cœurs solitaires. Elsa fait l’expérience d’une rencontre fortuite par le truchement d’un site de rencontres des plus communs. S’ensuit une aventure qui ne ressemble à rien de ce qu’elle a vécu jusqu’alors. Georges Frank de Cuzey a l’heureuse idée d’éviter les poncifs. Son écriture est drôle et pleine de joie. Finalement, un peu à l’image de l’existence telle que nous la rêvons tous et toutes dans notre univers douillet

De Oletta, écrivain Public : Un magistral réquisitoire contre tous ceux qui doutent encore que la soif d’amour se tarit avec l’âge ..

Du Blog ” Un Peu De Lecture “ JJe tiens tout d’abord à remercier « Mon Petit Éditeur » pour m’avoir fait découvrir ce livre. Un titre bien trouvé pour un livre qui navigue entre fiction et réalité, dans lequel on a du mal à vraiment faire la différence tant l’auteur a rendu son récit presque réaliste. Les 140 premières pages nous font rêver et idéaliser la suite du roman. Ce n’est finalement qu’aux 20 dernières pages que l’auteur nous emmène avec lui rencontrer le correspondant mystérieux d’Elsa. Un superbe livre débordant de mots magnifiques et de sentiments. J’ai beaucoup aimé comment l’auteur a su me faire ressentir comment Internet pouvait renforcer les sensations, de concevoir un début de relation, de créer de vrais liens même s’ils sont virtuels. Ce que j’ai grandement apprécié c’est que l’auteur ne cherche pas à nous angoisser quant aux dangers éventuels que pourrait représenter le passage du virtuel à la rencontre physique. Un livre passionnant qui m’a tenu en haleine et j’ai vite terminé pour connaître la fin. J’ai hâte de découvrir les autres tomes à venir. Laissez-vous emporter dans ce livre, vous ne le regretterez pas. À lire !

De Laurent Gaillard. Animateur : Il eût été dommage de na pas connaître cette histoire entre Luis et Elsa au travers de ce nouvel outil qu’est Internet. L’amour et le désir sont bien présents, mais point de magie à l’usure. Belle rencontre, néanmoins pour ces deux êtres qui ont finalement réussi à trouver leur  âme soeur après l’échec de leur relation.

          

 

 

III

 

D’esprit éclectique, Georges Frank de Cuzey s’est partagé entre les femmes, les affaires, l’art et l’écriture. Passons sur les enfants légitimes et naturels reconnus, l’éventail de ses production est large : sculptures, dessins, contes, didacticiels. Il correspond avec des journalistes, des artistes, des hommes politiques et des hommes de lettres.

A 70 ans, il s’inscrit dans un club de rencontres sur Internet à la recherche d’une compagne avec laquelle finir ses jours. Sa quête se poursuit pendant cinq ans…. Les trois tomes de WEB LOVE STORIES  s’inspirent des histoires qu’il a vécues avec des femmes remarquables, à un âge où d’autres ne s’intéressent plus à l’amour, D’où le surnom aimablement moqueur donné par ses familiers de ” Casanova du troisième âge “. Depuis deux ans, il vit une histoire épanouissante avec une grande artiste, Annie Soret, céramiste.

 

IV

 Les romans de

WEB SIDE STORIES

ou

Les mémoires d’un Casanova du troisième âge

 

TOME I :

Elsa @ Luis

………………………

TOME II

Adriana et autres nouvelles d’Internet

Antigone

Eliane

Oletta

………………………………

TOME III

    La dernière farandole avec :

Mathilde

Charlotte

Francesca

Annie

 

 

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